C'est pourquoi, rapporte Le Potentiel, « elle condamne la manière dont un confrère [L'Avenir] a traité une vieille information de Financial Times, datant du 16 décembre 2004 sur l'affirmation de William Swing relative à l'existence des soldats rwandais en RDC ».

A la vérité, « il s'agit des faits qui se sont déroulés, il y a trois ans, que l'on n'a pas pris la peine de vérifier ni de recouper », fait savoir Le Potentiel, en citant le Porte-parole de la MONUC.

M. Saiki, mentionne Le Potentiel, « a réaffirmé que la MONUC n'a jamais détenu des preuves tangibles de la présence des forces étrangères sur le sol congolais au cours de ces dernières années ».

Reste que « ...le dossier de la présence de l'armée rwandaise en RDC demeure troublant », estime L'Avenir.

Et, « les propos tenus dans l'article interpellent autant qu'ils éveillent davantage la conscience des Congolais et de l'opinion internationale », ajoute L'Avenir.

Ailleurs et un tout autre chapitre, ce fut «... la panique hier à Kinshasa », rapporte Le Palmarès.

A la base de cette panique, explique Le Palmarès, « une coupure générale d'électricité...due à une panne survenue hier au niveau de la centrale électrique de Inga ».

C'est également hier, que le président Joseph Kabila a fait « sa première apparition ...après les folles rumeurs sur sa mort », informe Le Palmarès.

En effet, rapporte Le Palmarès, « il a reçu à son cabinet de travail deux diplomates...et les cérémonies y afférentes ont été fidèlement rapportées par la RTNC, la chaîne officielle ».

Voilà qui « infirme toutes les élucubrations portées sur l'état de santé du chef de l'Etat », conclut Le Palmarès.