ONU
Nations Unies Maintien de la paix
24 fév
2009
Revue de presse de mercredi 17 août 2005
La réunion interinstitutionnelle de lundi 15 août, les difficultés de la CEI en Province et les tourmentes du parti d'Etienne Tshisekedi font la une de la presse kinoise de ce matin.
«Espace présidentiel, Parlement et CEI autour de William Swing», titre Le Potentiel. Le journal qualifie la rencontre entre les hauts dirigeants de la RDC et le membres du CIAT de « réunion peu ordinaire» et affirme que « le CIAT a fait le relais du Secrétaire général des Nations Unies qui a dénoncé dans son dernier rapport une série de dysfonctionnement du processus de transition singulièrement les opérations préélectorales».
« La réunion interinstitutionnelle a pris une série des mesures sur l'enrôlement des électeurs», renseigne La Tempête des Tropiques. L'Observateur souligne que «la réunion interinstitutionnelle souhaite la convocation d'une session extraordinaire en vue de l'adoption de la loi électorale par le parlement».
L'Avenir consacre sa manchette aux difficultés rencontrées par la CEI dans l'enregistrement des électeurs en province. « La CEI, l'UE, la MONUC et le CIAT interpellés», écrit ce journal qui pense que « les difficultés qui surgissent en provinces ne sont pas insurmontables». Le Potentiel cite parmi ces difficultés le fait que « la population est obligée de parcourir jusqu'à 100 km pour atteindre le centre le plus proche». Néanmoins, L'Observateur donne des nouvelles plus optimistes en annonçant que «les opérations se déroulent sans heurt à Miabi et à Kabeya Kamwanga», région dont est originaire le leader de l'UDPS Etienne Tshisekedi et où son parti invite la population à boycotter le processus. De même au Katanga, affirme La Référence Plus, "la caravane des élections suscite l'affluence des candidats" à l'identification et à l'enregistrement.
S'agissant de l'UDPS, Le Potentiel consacre sa manchette à la position de ce parti au sujet du code de bonne conduite électoral initié par la Commission électorale indépendante. « L'UDPS dit non », titre ce quotidien. Selon ce journal, «l'UDPS ne trouve pas son compte dans le code de bonne conduite électorale » pour la bonne et simple raison que ce parti « ne prend pas part au processus». Le journal explique que les « dirigeants de l'UDPS ont réaffirmé lundi leur détermination à ne tolérer aucune tricherie» concernant notamment l'existence des "trois UDPS" tel que reconnu par le Ministère de l'Intérieur.
Sur cette question, L'Observateur affirme que «les ambassadeurs occidentaux sollicitent l'intervention du chef de l'Etat». Mais ce journal fait observer que 'l'unité de l'UDPS ne viendra pas du chef de l'Etat" mais d'Etienne Tshisekedi qui doit « prouver qu'il est capable de résoudre un différend dans son parti».
La Tempête des Tropiques, pro-UDPS, parle d'une « exclusion programmée de l'Udps». Ce quotidien appelle une intervention du CIAT dont « le silence inquiète ».
Par ailleurs, L'Observateur signale que « Tshisekedi ferme le siège du parti» des suites des altercations devenues « fréquentes » entre des militants « extrémistes qui veulent pousser le parti à prendre les armes et les membres du secrétariat national».
« La réunion interinstitutionnelle a pris une série des mesures sur l'enrôlement des électeurs», renseigne La Tempête des Tropiques. L'Observateur souligne que «la réunion interinstitutionnelle souhaite la convocation d'une session extraordinaire en vue de l'adoption de la loi électorale par le parlement».
L'Avenir consacre sa manchette aux difficultés rencontrées par la CEI dans l'enregistrement des électeurs en province. « La CEI, l'UE, la MONUC et le CIAT interpellés», écrit ce journal qui pense que « les difficultés qui surgissent en provinces ne sont pas insurmontables». Le Potentiel cite parmi ces difficultés le fait que « la population est obligée de parcourir jusqu'à 100 km pour atteindre le centre le plus proche». Néanmoins, L'Observateur donne des nouvelles plus optimistes en annonçant que «les opérations se déroulent sans heurt à Miabi et à Kabeya Kamwanga», région dont est originaire le leader de l'UDPS Etienne Tshisekedi et où son parti invite la population à boycotter le processus. De même au Katanga, affirme La Référence Plus, "la caravane des élections suscite l'affluence des candidats" à l'identification et à l'enregistrement.
S'agissant de l'UDPS, Le Potentiel consacre sa manchette à la position de ce parti au sujet du code de bonne conduite électoral initié par la Commission électorale indépendante. « L'UDPS dit non », titre ce quotidien. Selon ce journal, «l'UDPS ne trouve pas son compte dans le code de bonne conduite électorale » pour la bonne et simple raison que ce parti « ne prend pas part au processus». Le journal explique que les « dirigeants de l'UDPS ont réaffirmé lundi leur détermination à ne tolérer aucune tricherie» concernant notamment l'existence des "trois UDPS" tel que reconnu par le Ministère de l'Intérieur.
Sur cette question, L'Observateur affirme que «les ambassadeurs occidentaux sollicitent l'intervention du chef de l'Etat». Mais ce journal fait observer que 'l'unité de l'UDPS ne viendra pas du chef de l'Etat" mais d'Etienne Tshisekedi qui doit « prouver qu'il est capable de résoudre un différend dans son parti».
La Tempête des Tropiques, pro-UDPS, parle d'une « exclusion programmée de l'Udps». Ce quotidien appelle une intervention du CIAT dont « le silence inquiète ».
Par ailleurs, L'Observateur signale que « Tshisekedi ferme le siège du parti» des suites des altercations devenues « fréquentes » entre des militants « extrémistes qui veulent pousser le parti à prendre les armes et les membres du secrétariat national».
