ONU
Nations Unies Maintien de la paix
23 fév
2009
Revue de Presse du 01 Février 2005
Les quotidiens parus à Kinshasa ce mardi 01 février 2005, ont bouclés leurs journaux avant l'annonce du report de l'ouverture du séminaire inter-institutionnel qui va déterminer le nouveau calendrier électoral.
« Avec l'ouverture aujourd'hui du séminaire inter-institutionnel, Election : l'ultime décision attendue », titre LA TEMPETE DES TROPIQUES. Ce journal critique la manière dont le président de la Commission Electorale Indépendante, Apollinaire Malu Malu, avait annoncé le report des élections le 6 janvier dernier et indique que « ce séminaire inter-institutionnel est la voie d'avaliser officiellement le report de la tenue des élections en RDC ».
LE PHARE, quant à lui, parle du report de ce séminaire pour mercredi. Le qualifiant de « flou », le journal relève que « ce séminaire souffre d'un déficit criant de légitimité et s'ouvre sans un ordre du jour clair ». Le quotidien propose que le séminaire élabore un barème de sanctions. Pour LE PHARE, « il y a moyen pour créer la différence. C'est principalement d'amener les différents acteurs de la transition à prendre au sérieux leurs engagements et à les accomplir la main sur le c'ur », car « avec l'inconscience des Congolais, la théorie seule ne suffit pas. Ce qu'il faut et qui serait plus efficace c'est de prévoir avant toute chose une grille de sanctions pour ceux qui ne respecteraient pas les engagements pris en rapport avec le calendrier électoral ».
Pour L'OBSERVATEUR, « les partenaires (le Ciat) dont dépendant la sécurité et le financement s'expliqueront pour fixer l'opinion quand est-ce que l'argent destiné aux élections tombera dans la caisse de la CEI et savoir si toutes les conditions de sécurité sont réunies pour l'organisation des élections ». Ce quotidien consacre son éditorial aux interventions du Ciat à des différends qui ont souvent opposé la classe politique congolaise et conclut que « Le Ciat se fatigue pour rien ». Car, ajoute le journal, « le Ciat en voulant jouer aux arbitres dans des dossiers que les Congolais eux-mêmes traitent plus avec le c'ur qu'avec la raison, le Ciat donne véritablement l'impression de ne pas connaître le monde politique congolais ».
En rapport avec le séminaire inter institutionnel l'AVENIR parle « d'une note noire », « la non participation de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, Udps à ce forum ». Selon le Secrétaire général de l'Udps, Remy Tshimasa, cité par le journal « le refus de l'Udps réside dans le fait que l'intitulé même du séminaire pose des problèmes dans la mesure où le champs d'action des participants n'a pas été déterminé ». Le journal tirant des conséquences de ce refus rappelle « qu'il ne s'agit pas d'un séminaire du Ciat mais plutôt de la RDC. Le fait que l'Udps refuse d'y prendre part peut être considéré comme une volonté manifeste de cette formation politique de chercher à demeurer en dehors de toute réflexion pouvant permettre de sortir ce pays de la situation incertaine qui pourrait embrigader le pays ».
LA REFERENCE PLUS rappelle l'ultimatum du MLC et des menaces de son retrait des institutions de la transition qui expirent hier, 31 janvier 2005 et écrit : « Le MLC revoit ses ambitions à la baisse ». Le journal qualifie cet ultimatum de « pétard mouillé » et annonce toutefois que « le MLC promet de maintenir la pression et la vigilance ». Abordant le même sujet, LE POTENTIEL annonce que « le Ciat exige, pour ce jeudi, une décision définitive sur les entreprises publiques ». Le quotidien parle du « oui du MLC mais' ». Il explique que « tout serait rentré dans l'ordre. Cependant, le Mlc ne lâche pas prise, car le point de presse à l'issue de cette session d'évaluation n'a pas éclairé complètement les zones d'ombre autour de cet ultimatum ».
Enfin, LA TEMPETE DES TROPIQUES évoque des « Patrouilles mixtes Monuc et armée congolaise dans l'Ituri », qui ont abouti selon radio okapi, citée par ce journal au « démantèlement des deux postes barrières dressés par les miliciens de l'UPC ».
LE PHARE, quant à lui, parle du report de ce séminaire pour mercredi. Le qualifiant de « flou », le journal relève que « ce séminaire souffre d'un déficit criant de légitimité et s'ouvre sans un ordre du jour clair ». Le quotidien propose que le séminaire élabore un barème de sanctions. Pour LE PHARE, « il y a moyen pour créer la différence. C'est principalement d'amener les différents acteurs de la transition à prendre au sérieux leurs engagements et à les accomplir la main sur le c'ur », car « avec l'inconscience des Congolais, la théorie seule ne suffit pas. Ce qu'il faut et qui serait plus efficace c'est de prévoir avant toute chose une grille de sanctions pour ceux qui ne respecteraient pas les engagements pris en rapport avec le calendrier électoral ».
Pour L'OBSERVATEUR, « les partenaires (le Ciat) dont dépendant la sécurité et le financement s'expliqueront pour fixer l'opinion quand est-ce que l'argent destiné aux élections tombera dans la caisse de la CEI et savoir si toutes les conditions de sécurité sont réunies pour l'organisation des élections ». Ce quotidien consacre son éditorial aux interventions du Ciat à des différends qui ont souvent opposé la classe politique congolaise et conclut que « Le Ciat se fatigue pour rien ». Car, ajoute le journal, « le Ciat en voulant jouer aux arbitres dans des dossiers que les Congolais eux-mêmes traitent plus avec le c'ur qu'avec la raison, le Ciat donne véritablement l'impression de ne pas connaître le monde politique congolais ».
En rapport avec le séminaire inter institutionnel l'AVENIR parle « d'une note noire », « la non participation de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social, Udps à ce forum ». Selon le Secrétaire général de l'Udps, Remy Tshimasa, cité par le journal « le refus de l'Udps réside dans le fait que l'intitulé même du séminaire pose des problèmes dans la mesure où le champs d'action des participants n'a pas été déterminé ». Le journal tirant des conséquences de ce refus rappelle « qu'il ne s'agit pas d'un séminaire du Ciat mais plutôt de la RDC. Le fait que l'Udps refuse d'y prendre part peut être considéré comme une volonté manifeste de cette formation politique de chercher à demeurer en dehors de toute réflexion pouvant permettre de sortir ce pays de la situation incertaine qui pourrait embrigader le pays ».
LA REFERENCE PLUS rappelle l'ultimatum du MLC et des menaces de son retrait des institutions de la transition qui expirent hier, 31 janvier 2005 et écrit : « Le MLC revoit ses ambitions à la baisse ». Le journal qualifie cet ultimatum de « pétard mouillé » et annonce toutefois que « le MLC promet de maintenir la pression et la vigilance ». Abordant le même sujet, LE POTENTIEL annonce que « le Ciat exige, pour ce jeudi, une décision définitive sur les entreprises publiques ». Le quotidien parle du « oui du MLC mais' ». Il explique que « tout serait rentré dans l'ordre. Cependant, le Mlc ne lâche pas prise, car le point de presse à l'issue de cette session d'évaluation n'a pas éclairé complètement les zones d'ombre autour de cet ultimatum ».
Enfin, LA TEMPETE DES TROPIQUES évoque des « Patrouilles mixtes Monuc et armée congolaise dans l'Ituri », qui ont abouti selon radio okapi, citée par ce journal au « démantèlement des deux postes barrières dressés par les miliciens de l'UPC ».
