ONU
Nations Unies Maintien de la paix
23 fév
2009
Revue de Presse du 04 Février 2005
La presse Kinoise de ce vendredi 04 février 2005 évoque trois principaux sujets. Il s'agit de la protestation contre la présence de la Monuc à Kikwit dans la province du Bandundu, du démenti de la Mission face à la campagne de désinformation orchestrée par certains médias congolais et de la clôture du séminaire inter institutionnel consacré au calendrier électoral.
« Province du Bandundu, Kikwit boude la présence de la Monuc ». Sous ce titre en Une, LA REFERENCE PLUS indique que « la ville de Kikwit ne connaît pas de grands problèmes d'insécurité. La ville et la province ont des problèmes sociaux et que la réponse à ces préoccupations ne nécessite pas forcement la présence de la Monuc. Les populations de Kikwit demandent à la Monuc de se déployer convenablement au Kivu et en Ituri afin d'y ramener la paix ». Le journal précise qu'il n'y a pas de guerre à Kikwit qui justifierait la présence des observateurs onusiens. Toujours en rapport avec cette information LE PHARE annonce une « ville morte hier à Kikwit », selon le mot d'ordre lancé par des notables de la place et des associations de la société civile de Bandundu. « La mission onusienne a la manie de procéder aux incursions des forces négatives dans les localités où elle installe ses pénates », relève le journal citant les propos des notables.
Parlant du district de l'Ituri, LA REFERENCE PLUS rapporte qu'« Une concession (a été) cédée par le gouvernement à la Monuc ». Le journal, qui cite les notabilités de la place, dénonce que « le district de l'Ituri est géré comme une cinquième roue du véhicule par le gouvernement de transition qui a cédé ce district à la Monuc ». Par ailleurs, quant aux affrontements que la Mission a dénoncé, dans son point de presse du 2 février 2005 entre les groupes armés en Ituri, le journal reprend les propos des notabilités qui « indexent la Monuc ». Il s'agit d'un « gros mensonge selon les notabilités de ce district qui accusent les milieux de la mission onusienne d'avoir favorisé si pas incité à cette anarchie qui prévaut actuellement », car d'après eux « la Monuc n'a pas fait état de toutes les tueries. C'est après la dénonciation qu'elle a porté à la connaissance de l'opinion le cas de Tchée », indique le quotidien. Le journal cite les propos de certaines personnes membres du Front des Nationalistes Intégrationnistes, FNI, qui ont affirmé que « quelques uns des leurs avaient été contactés par le milieux de la Monuc pour recommencer le désordre en Ituri ». « Nous avions compris que ces gens ne vivent que grâce à des conflits armés », indique le quotidien, citant les mêmes propos.
LE PHARE revient sur le communiqué de presse dans lequel la Monuc dénonce une campagne de désinformation orchestrée par certains medias congolais. Dans ce communiqué rendu public jeudi la Monuc explique que : « il n'y a aucun Rwandais dans l'ensemble du personnel civil et militaire de la Monuc et elle déplore que certains médias se soient fait l'écho de propos mensongers faisant ainsi la démonstration soit de leur incompétence journalistique, soit de leur malhonnêteté et du mépris ainsi professé à l'égard de leurs lecteurs ».
LA TEMPETE DES TROPIQUES annonce la clôture ce vendredi du séminaire inter-institutionnel consacré au calendrier électoral. « Ça casse ou ça passe aujourd'hui », titre le journal qui poursuit : « Les congolais seront fixés sur le huit clos de cette session boudée par des entités qui comptent ». LE POTENTIEL, quant à lui, parle « de la levée d'un plan du voile sur les élections aujourd'hui » et indique « qu'il est possible que le calendrier électoral soit rendu public ». Le journal propose « le schéma irakien » qui « malgré les bombes et les roquettes, les irakiens ont voté pour disposer des élus afin qu'ils exercent le pouvoir de façon légitime », indique le quotidien.
Parlant du district de l'Ituri, LA REFERENCE PLUS rapporte qu'« Une concession (a été) cédée par le gouvernement à la Monuc ». Le journal, qui cite les notabilités de la place, dénonce que « le district de l'Ituri est géré comme une cinquième roue du véhicule par le gouvernement de transition qui a cédé ce district à la Monuc ». Par ailleurs, quant aux affrontements que la Mission a dénoncé, dans son point de presse du 2 février 2005 entre les groupes armés en Ituri, le journal reprend les propos des notabilités qui « indexent la Monuc ». Il s'agit d'un « gros mensonge selon les notabilités de ce district qui accusent les milieux de la mission onusienne d'avoir favorisé si pas incité à cette anarchie qui prévaut actuellement », car d'après eux « la Monuc n'a pas fait état de toutes les tueries. C'est après la dénonciation qu'elle a porté à la connaissance de l'opinion le cas de Tchée », indique le quotidien. Le journal cite les propos de certaines personnes membres du Front des Nationalistes Intégrationnistes, FNI, qui ont affirmé que « quelques uns des leurs avaient été contactés par le milieux de la Monuc pour recommencer le désordre en Ituri ». « Nous avions compris que ces gens ne vivent que grâce à des conflits armés », indique le quotidien, citant les mêmes propos.
LE PHARE revient sur le communiqué de presse dans lequel la Monuc dénonce une campagne de désinformation orchestrée par certains medias congolais. Dans ce communiqué rendu public jeudi la Monuc explique que : « il n'y a aucun Rwandais dans l'ensemble du personnel civil et militaire de la Monuc et elle déplore que certains médias se soient fait l'écho de propos mensongers faisant ainsi la démonstration soit de leur incompétence journalistique, soit de leur malhonnêteté et du mépris ainsi professé à l'égard de leurs lecteurs ».
LA TEMPETE DES TROPIQUES annonce la clôture ce vendredi du séminaire inter-institutionnel consacré au calendrier électoral. « Ça casse ou ça passe aujourd'hui », titre le journal qui poursuit : « Les congolais seront fixés sur le huit clos de cette session boudée par des entités qui comptent ». LE POTENTIEL, quant à lui, parle « de la levée d'un plan du voile sur les élections aujourd'hui » et indique « qu'il est possible que le calendrier électoral soit rendu public ». Le journal propose « le schéma irakien » qui « malgré les bombes et les roquettes, les irakiens ont voté pour disposer des élus afin qu'ils exercent le pouvoir de façon légitime », indique le quotidien.
