« Désigné formateur, Antoine Gizenga, écrit Le Phare, est d'accord avec Kabila ». Le quotidien souligne qu' « au cours d'un point de presse organisé mercredi matin en sa résidence, Gizenga a confirmé sa volonté de s'investir dans sa mission d'informateur ».

Pour sa part, L'Avenir renseigne que « comme Lumumba en 1960, Gizenga accepte sa mission d'informateur ». Rappelant que c'est après la réussite de sa mission comme informateur que Lumumba avait été nommé formateur du gouvernement, le quotidien croit savoir qu' « avec Antoine Gizenga, la configuration de l'Assemblée nationale est tellement claire qu'il n'aura pas besoin d'un mois pour identifier cette majorité ».

Sous le titre « Enfin, Antoine Gizenga consulte », La Référence Plus indique qu' « Antoine Gizenga s'engage à se mettre au travail afin de présenter, dans les brefs délais, le rapport positif souhaité par le chef de l'Etat ».

L'Observateur de son coté signale qu' « Antoine Gizenga prend contact avec les groupes parlementaires ».

Le Potentiel estime qu'il s'agit « d'un premier test pour le futur Premier ministre » et renseigne que « cette mission d'information ne s'annonce pas du tout facile. Il s'agit de convaincre, de réunir les futurs membres du Gouvernement, les partis politiques qui y feront partie autour d'un même idéal ».

« Gizenga accepte la mission lui confiée par le président de la République et promet d'agir vite », signale La Tempête des Tropiques qui soutient par ailleurs que « la fonction de l'informateur nominé par décret présidentiel est une coquille vide ». Le quotidien affirme que « la majorité à identifier étant déjà connue, les personnalités qui la composent déjà annoncées, la mission actuelle de Gizenga devient sans objet ».

Sur un autre registre, La Tempête des Tropiques informe que « William Swing plaide pour la République démocratique du Congo à New York et souligne que pour la Monuc, la communauté internationale ne doit pas quitter prématurément le Congo- Kinshasa si elle veut aider ce pays à retrouver sa stabilité ».