Revue de presse MONUC-07 decembre 2007

25 fév 2009

Revue de presse MONUC-07 decembre 2007

La presse parue ce jour à Kinshasa titre exclusivement sur le discours à la nation hier du président Joseph Kabila.
Comme prévu, le président Joseph Kabila s'est adressé hier jeudi 06 décembre à la nation devant le congrès du parlement.

Pour l'essentiel, le président Kabila estime que « la situation est sensiblement meilleure qu'il y a une année... », rapporte Le Palmarès.

Et, même «... beaucoup mieux qu'il y a 15 ans », ajoute L'Avenir.

Pour le reste, et indique Le Palmarès, le président Kabila a « réaffirmé sa détermination d'en finir bientôt avec la crise à l'est avec le concours de la communauté internationale ».

Il a également « ... mis en garde les opportunistes contre toute tentative à procéder à la révision constitutionnelle pour des raisons épidermiques ou politiciennes... », avant de « ... placer l'an II de son mandat sous le signe des tâches du développement et de la construction », mentionne Le Potentiel.

Pour tout dire et juge L'Avenir, Joseph Kabila a été hier « convainquant ».

Raison pour laquelle, « sénateurs et députés lui ont fait un triomphe au palais du peuple... », indique Le Phare.

Ailleurs et au Nord Kivu, les Fardc, elles, « continuent leur avancée... » renseigne Le Palmarès.

En effet, jour après jour et explique L'Avenir « les forces armées congolaises marchent sans désemparer sur les positions naguère tenues par les insurgés... ».

C'est pourquoi, le président Kabila a « lancé des fleurs aux Fardc pour avoir nettoyé plusieurs poches d'insécurité au nord Kivu...avec des moyens précaires », rapporte Le Phare.

Sur tout autre chose, c'est Monseigneur Monsengwo qui, a été nommé comme « nouvel archevêque de Kinshasa en remplacement du cardinal Frédéric Etsou, décédé », informe Le Potentiel.

Pour rappel et enseigne Le Palmarès, Monseigneur Monsengwo était « depuis 1988 archevêque de Kisangani et président de la conférence épiscopale nationale du Congo depuis juillet 2004 ».

Bien avant, il avait dirigé « de mains de maître la conférence nationale souveraine de 1990 à 1992 », ajoute Le Phare.