Revue de presse MONUC -12 mai 2008

25 fév 2009

Revue de presse MONUC -12 mai 2008

Pour l'essentiel, il est question des législatives à Befale et des débats à l'Assemblée nationale sur les contrats chinois dans les journaux parus ce jour à Kinshasa.
Comme prévues, les législatives partielles ont eu lieu hier à Befale. Et, celles-ci signale Le Potentiel, se sont déroulées « dans le calme ».

En effet, rappelée aux urnes, une deuxième fois pour élire leur représentant à l'Assemblée nationale, la population de Befale, à l'Equateur, a voté hier, à travers « 21 centres pour choisir parmi les 7 candidats en lice », indique Le Potentiel.

Aujourd'hui à Kinshasa, c'est le ministre des infrastructures, des travaux publics et reconstruction qui prendra « la parole à l'Assemblée nationale afin de réagir aux très nombreuses critiques des députés sur les contrats chinois », informe Le Palmarès, sur un autre registre.

C'est même peu dire, souligne Le Phare, que le ministre Pierre Lumbi est « impatiemment attendu à la tribune du Palais du Peuple...et dans les millions de foyers congolais pour un éclairage sans zones d'ombre ».

Concrètement, les Congolais veulent savoir « si les milliards de dollars annoncés apporteront effectivement au pays un partenariat gagnant-gagnant... », fait savoir Le Phare.

C'est qu'ils ont en mémoire, « l'expérience malheureuse des éléphants blancs de l'ère Mobutu, avec la clé 15 milliards de dollars de dettes sur un emprunt de départ évalué à 2 milliards Usd... ».

Sur un autre chapitre, ce sont « les professeurs et le gouvernement, qui ont signé un protocole d'accord pour la reprise des cours à l'Université de Kinshasa», rapporte La Tempête des Tropiques.

Dans ce protocole d'accord, détaille La Tempête des Tropiques, les deux parties se sont « engagées à poursuivre les négociations en vue de l'amélioration des conditions de vie des professeurs ».

Pour rappel et selon « des indiscrétions, ces derniers exigeaient un forfait de 500 dollars payables à partir du mois de mai en attendant d'obtenir les 2000 qu'ils exigent comme salaire de base », renseigne Le Phare.