Revue de presse MONUC-21 novembre 2007

25 fév 2009

Revue de presse MONUC-21 novembre 2007

Divers sujets font la une des journaux parus ce jour à Kinshasa. Chaque quotidien y allant de son actualité.
C'est ainsi que Le Palmarès croit savoir que « le courant dit réformateur au MLC s'oppose aux conservateurs sur la participation ou non du parti de Jean-Pierre Bemba aux prochaines élections locales, municipales et urbaines ».

Mieux, ils appellent « à un grand débat autour de la question de la participation du MLC aux prochaines echeances électorales », ajoute Le Palmarès.

Mais déjà et renseigne Le Palmarès, ces réformateurs ont fait savoir que « le MLC ne peut pas aller de défaite en défaite en laissant le champ libre à l'adversaire ».

Pour leur part, les sénateurs sont pour « l'application de la loi sur le financement des partis politiques en 2011... », rapporte Le Phare, expliquant que pour ces derniers, « l'exécution d'une telle loi en ce moment ne constitue pas du tout une priorité pour la République ».

Les priorités actuelles étant « d'ordre socio économique et sécuritaire... », précise Le Phare.

A l'Est et un tout autre chapitre, la MONUC, elle, sera «... à l'épreuve du 1er décembre 2007 », annonce L'Avenir.

D'ici là et estime L'Avenir, elle « devra développer une approche diplomatique forte en direction des ex-Far/Interahamwe pour leur faire comprendre qu'une guerre contre les FARDC et la Monuc sera une de trop... ».

La Monuc, qui « consomme par an, pour son fonctionnement intégral, 1.133.672 millions dollars... Ce qui revient à dire qu'en 10 ans, elle aura coûté à la communauté internationale près de 11.336.720 dollars », chiffre L'Avenir.

C'est pourquoi et croit savoir L'Avenir, « une bonne partie de l'opinion nationale a du mal à comprendre qu'une organisation aussi éléphantesque que coûteuse se révèle incapable de mettre fin à toutes ces guerres qui viennent essentiellement de l'Est... ».

Ailleurs, ce sont « 212 exilés politiques congolais dont l'ex colonel Jules Mutebutsi et ses compagnons hébergés dans le camp de Tshoko au sud du Rwanda qui ne recevront plus de vivres du gouvernement rwandais », renseigne Le Palmarès.

Simplement, et explique Le Palmarès parce que « le Rwanda ne peut pas continuer à nourrir des gens bien portants, qui peuvent travailler et se nourrir... ».