En ce mardi 25 septembre, les journaux parus à Kinshasa consacrent leurs principales colonnes à la reprise des combats entre les FARDC et les insurgés fidèles au général déchu, Laurent N'Kunda.

Depuis hier, les affrontements ont repris entre les forces armées de la République démocratique du Congo et des militaires fidèles à Laurent N'Kunda.

Ces nouveaux combats et fait remarquer La Référence Plus interviennent « quelques jours seulement après que le président Kabila ait réaffirmé sa ferme volonté d'en finir avec Laurent N'Kunda ».

En effet, le chef de l'Etat qui s'est « rendu la semaine dernière au Nord Kivu s'est montré particulièrement déterminé à ne plus laisser N'Kunda se moquer de l'autorité de l'Etat », rappelle La Référence Plus.

Les combats ont donc repris. Reste que et renseigne Le Phare, « jusqu'à hier soir, aucune des parties, ni la MONUC n'avait pu livrer un quelconque bilan des combats ».

La Mission des Nations unies en RDC dont « des éléments militaires pourront bientôt se retrouver au front aux cotés des unités des FARDC pour traquer les forces négatives », informe Le Potentiel.

Objectif ? « ... restaurer l'autorité de l'Etat et protéger les populations à l'est », éclaire Le Potentiel.

N'empêche que et estime Le Phare, « depuis les négociations de Kigali et le contesté accord sur le mixage en janvier, le CNDP de Laurent N'Kunda est apparu aux yeux des autorités rwandaises comme la réponse la plus appropriée et la moins coûteuse militairement et diplomatiquement à l'activisme des FDLR sur le terrain ».

Dès lors, « il est difficile d'amener Kigali à bouder le CNDP et son leader sans qu'en face il y ait eu un accord autorisant le Rwanda à poursuivre les FDLR en territoire congolais », explique Le Phare.

Ailleurs et sur un tout autre sujet, il est question d' « un possible remaniement du gouvernement », croit savoir Le Potentiel.

Et, à cette occasion et croit savoir toujours Le Potentiel, « faute de changer de Premier ministre, il est probable qu'on lui adjoigne deux vice-Premiers ministres, chargés respectivement des secteurs politique et économique ».

En clair, « tout en conservant ses prérogatives constitutionnelles, le Premier ministre, compte tenu de son âge et de ses lourdes charges aura en quelque sorte deux béquilles sur lesquelles il pourra s'appuyer pour conduire l'action du gouvernement », éclaire Le Potentiel.

D'ici là, le président Kabila, lui, était en visite hier à Bruxelles, où « les belges sont inquiets devant l'importance des contrats discutés entre la RDC et la Chine », renseigne Le Palmarès.

C'est que « les belges craignent que la RDC soit bradée », explique Le Palmarès indiquant que pour leur part « les Congolais, eux, souhaitent que les déboursements de l'aide promis soient les plus rapides car la population s'impatiente ».
En ce mardi 25 septembre, les journaux parus à Kinshasa consacrent leurs principales colonnes à la reprise des combats entre les FARDC et les insurgés fidèles au général déchu, Laurent N'Kunda.

Depuis hier, les affrontements ont repris entre les forces armées de la République démocratique du Congo et des militaires fidèles à Laurent N'Kunda.

Ces nouveaux combats et fait remarquer La Référence Plus interviennent « quelques jours seulement après que le président Kabila ait réaffirmé sa ferme volonté d'en finir avec Laurent N'Kunda ».

En effet, le chef de l'Etat qui s'est « rendu la semaine dernière au Nord Kivu s'est montré particulièrement déterminé à ne plus laisser N'Kunda se moquer de l'autorité de l'Etat », rappelle La Référence Plus.

Les combats ont donc repris. Reste que et renseigne Le Phare, « jusqu'à hier soir, aucune des parties, ni la MONUC n'avait pu livrer un quelconque bilan des combats ».

La Mission des Nations unies en RDC dont « des éléments militaires pourront bientôt se retrouver au front aux cotés des unités des FARDC pour traquer les forces négatives », informe Le Potentiel.

Objectif ? « ... restaurer l'autorité de l'Etat et protéger les populations à l'est », éclaire Le Potentiel.

N'empêche que et estime Le Phare, « depuis les négociations de Kigali et le contesté accord sur le mixage en janvier, le CNDP de Laurent N'Kunda est apparu aux yeux des autorités rwandaises comme la réponse la plus appropriée et la moins coûteuse militairement et diplomatiquement à l'activisme des FDLR sur le terrain ».

Dès lors, « il est difficile d'amener Kigali à bouder le CNDP et son leader sans qu'en face il y ait eu un accord autorisant le Rwanda à poursuivre les FDLR en territoire congolais », explique Le Phare.

Ailleurs et sur un tout autre sujet, il est question d' « un possible remaniement du gouvernement », croit savoir Le Potentiel.

Et, à cette occasion et croit savoir toujours Le Potentiel, « faute de changer de Premier ministre, il est probable qu'on lui adjoigne deux vice-Premiers ministres, chargés respectivement des secteurs politique et économique ».

En clair, « tout en conservant ses prérogatives constitutionnelles, le Premier ministre, compte tenu de son âge et de ses lourdes charges aura en quelque sorte deux béquilles sur lesquelles il pourra s'appuyer pour conduire l'action du gouvernement », éclaire Le Potentiel.

D'ici là, le président Kabila, lui, était en visite hier à Bruxelles, où « les belges sont inquiets devant l'importance des contrats discutés entre la RDC et la Chine », renseigne Le Palmarès.

C'est que « les belges craignent que la RDC soit bradée », explique Le Palmarès indiquant que pour leur part « les Congolais, eux, souhaitent que les déboursements de l'aide promis soient les plus rapides car la population s'impatiente ».