Revue de presse MONUC-26 septembre 07

25 fév 2009

Revue de presse MONUC-26 septembre 07

Ce mercredi 26 septembre 2007, il est essentiellement question de la participation de la RDC à l'Assemblée générale des Nations unies dans la presse parue à Kinshasa.
La République démocratique du Congo qui, vient « d'être élue à la vice présidence de la 62e session de l'ONU », informe L'Avenir.

En à point douter et estime L'Avenir, « cette qualité est le reflet de la confiance que lui accorde la communauté internationale, en dépit des efforts déployés par les ennemis de la démocratie... ».

Reste que cette communauté internationale « qui se penche davantage sur le conflit du Darfour doit avoir la même attention pour la RDC où un drame se joue avec des individus comme N'Kunda et des Etats qui s'ingénient à contrarier la bonne marche de la démocratie », souligne L'Avenir.

En attendant et informe Le Palmarès, « Jean-Pierre Bemba, lui, est arrivé à New-York et attend d'être reçu par le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki moon ».

Ou plus exactement par « le secrétaire général adjoint de l'Onu en charge des missions de paix, Jean-Marie Guehenno », croit savoir Le Potentiel.

Ban Ki moon ou Jean-Marie Guehenno, l'objectif de Jean-Pierre Bemba est « ... d'arracher des assurances sur sa sécurité » fait savoir Le Potentiel avant d'ajouter que « le secrétaire général de l'Onu ne manquera pas de s'entretenir au sujet de Bemba avec le chef de l'Etat congolais».

C'est qu' « il est question d'obtenir de Kabila un engagement sur la sécurité de Bemba afin de favoriser son retour au pays », renseigne Le Potentiel.

C'est-à-dire et explique Le Potentiel, « parvenir à un compromis politique en gelant s'il le faut la procédure judiciaire suspendue sur la tête du président national du MLC ».

D'ici là et pour l'heure, « il n'est pas prévu dans l'agenda de Joseph Kabila une rencontre avec le sénateur Bemba à New-York», note Le Palmarès.

A Kinshasa et au chapitre de la politique nationale, ce sont « 0,5 à 1% du budget qui seront consacrés au financement des partis politiques » rapporte L'Observateur.

Toutefois et précise La Tempête des Tropiques, « les partis politiques qui n'ont pas participé aux élections de 2006 ne seront pas financés par l'Etat congolais ».

De toutes les façons, « vu l'enveloppe allouée, tous les partis politiques congolais estimés à 800 ne peuvent être financés », indique La Tempête des Tropiques, avant d'estimer que «... ce financement ne doit pas être source d'enrichissement personnel... ».