ONU
Nations Unies Maintien de la paix
24 fév
2009
Revue de presse MONUC du 23 juin 2005
La presse parue ce jeudi 23 juin 2005 à Kinshasa consacre ses principales pages à la déclaration des évêques congolais sur la transition politique en cours en RDC et au point de presse hebdomadaire de la MONUC.
«Les évêques en appellent au dialogue», annonce en principale manchette La Référence Plus. Ce journal qui informe que «les négociations doivent réunir les forces socio politiques significatives pour définir les termes de référence de la prolongation de la transition», assure que «les évêques exigent une évaluation sans complaisance de la transition assortie de sanctions contre les auteurs de la lenteur».
Par ailleurs, selon La Référence Plus la Conférence épiscopale nationale du Congo estime que «tout arrêt du processus de la transition retarderait l'espoir de l'organisation d'élections libres, justes et fiables dans les meilleurs délai».
Pour sa part Le Potentiel, qui indique que «les évêques exigent un dialogue positif», souligne qu'ils ont exprimé l'espoir qu'à l'issue de ce dialogue «il sera mis en place un comité national multisectoriel de suivi du processus électoral chargé d'assurer le monitoring du processus et jouer le rôle de médiation entre les institutions chargées de la question électorale et la population».
Annonçant aussi «un comité de suivi du processus électoral», L'Avenir observe que les évêques ont dit « oui à l'intensification de l'éducation civique et électorale» et «non à l'amalgame entre l'action de l'Eglise catholique et celle du président de la Cei».
Sous le titre «les évêques dénoncent», L'Observateur note de son coté que ces derniers «déplorent le positionnement des acteurs politiques et la psychose entretenue autour de la date du 30 juin». Précisant que les archevêques, évêques et administrateurs diocésains se sont réunis en assemblée plénière extraordinaire, ce quotidien rapporte qu' «il ne serait par normal que les situations déplorées avant le 30 juin 2005 se retrouvent telles quelles après le 30 juin 2005», en reprenant un extrait de la déclaration de la Conférence épiscopale nationale du Congo. L'Observateur, qui mentionne que «depuis l'accession du Congo à l'indépendance en 1960, les évêques ont toujours pris des positions courageuses et responsables», conclut que «la Cenco apparaît comme une force éducative très importante capable de créer des mentalités nouvelles».
Qualifiant de «véritable pavé dans la marre», la déclaration des évêques congolais, Le Phare rapporte que les prélats ont été « impitoyables vis-à-vis du régime congolais de la transition». Ce journal, qui ajoute que «les évêques ont rappelé les limites de la formule 1+4 à la tête de l'Etat», affiche en ouverture que la Conférence épiscopale nationale du Congo «met une croix sur 1+4».
Toujours en relation avec la transition politique en RDC, La Référence Plus annonce que «le processus électoral en RDC est irréversible», en citant M. William Lacy Swing, Représentant Spécial du Secrétaire Général de l'Onu en République Démocratique du Congo. Ce journal, qui rend compte de la conférence de presse hebdomadaire de la MONUC écrit par ailleurs que M. Swing a noté que « huit spécialistes électoraux sont déjà sur place en RDC pour donner un coup de main à la Cei».
Titrant «gare à ceux qui veulent boycotter le processus électoral», en se faisant l'écho d'autres propos de M. Swing, L'Observateur souligne que «la MONUC salue le début du processus d'identification et enrôlement».
Par ailleurs, selon La Référence Plus la Conférence épiscopale nationale du Congo estime que «tout arrêt du processus de la transition retarderait l'espoir de l'organisation d'élections libres, justes et fiables dans les meilleurs délai».
Pour sa part Le Potentiel, qui indique que «les évêques exigent un dialogue positif», souligne qu'ils ont exprimé l'espoir qu'à l'issue de ce dialogue «il sera mis en place un comité national multisectoriel de suivi du processus électoral chargé d'assurer le monitoring du processus et jouer le rôle de médiation entre les institutions chargées de la question électorale et la population».
Annonçant aussi «un comité de suivi du processus électoral», L'Avenir observe que les évêques ont dit « oui à l'intensification de l'éducation civique et électorale» et «non à l'amalgame entre l'action de l'Eglise catholique et celle du président de la Cei».
Sous le titre «les évêques dénoncent», L'Observateur note de son coté que ces derniers «déplorent le positionnement des acteurs politiques et la psychose entretenue autour de la date du 30 juin». Précisant que les archevêques, évêques et administrateurs diocésains se sont réunis en assemblée plénière extraordinaire, ce quotidien rapporte qu' «il ne serait par normal que les situations déplorées avant le 30 juin 2005 se retrouvent telles quelles après le 30 juin 2005», en reprenant un extrait de la déclaration de la Conférence épiscopale nationale du Congo. L'Observateur, qui mentionne que «depuis l'accession du Congo à l'indépendance en 1960, les évêques ont toujours pris des positions courageuses et responsables», conclut que «la Cenco apparaît comme une force éducative très importante capable de créer des mentalités nouvelles».
Qualifiant de «véritable pavé dans la marre», la déclaration des évêques congolais, Le Phare rapporte que les prélats ont été « impitoyables vis-à-vis du régime congolais de la transition». Ce journal, qui ajoute que «les évêques ont rappelé les limites de la formule 1+4 à la tête de l'Etat», affiche en ouverture que la Conférence épiscopale nationale du Congo «met une croix sur 1+4».
Toujours en relation avec la transition politique en RDC, La Référence Plus annonce que «le processus électoral en RDC est irréversible», en citant M. William Lacy Swing, Représentant Spécial du Secrétaire Général de l'Onu en République Démocratique du Congo. Ce journal, qui rend compte de la conférence de presse hebdomadaire de la MONUC écrit par ailleurs que M. Swing a noté que « huit spécialistes électoraux sont déjà sur place en RDC pour donner un coup de main à la Cei».
Titrant «gare à ceux qui veulent boycotter le processus électoral», en se faisant l'écho d'autres propos de M. Swing, L'Observateur souligne que «la MONUC salue le début du processus d'identification et enrôlement».
