ONU
Nations Unies Maintien de la paix
24 fév
2009
Revue de Presse MONUC du 28 juin 2005
La déclaration du président de la Commission européenne, José Manuel Barroso devant les deux chambres du parlement congolais fait la une des journaux parus dans les kiosques ce mardi 28 juin 2005 à Kinshasa.
«Barroso réaffirme le soutien de l'UE à la transition», affiche en principale manchette La Référence Plus. Ce quotidien indépendant, qui rend compte de la visite de quelques heures du président de la Commission européenne à Kinshasa rapporte que «José Manuel Barroso a exhorté les Congolais à soutenir le processus de Transition jusqu'à l'organisation des élections», tout en demandant à ceux-ci de «saisir cette opportunité pour ne pas connaître le sort de la Somalie».
«La transition est une opportunité unique qui n'a pas droit à l'échec», reprend aussi à sa une L'Observateur, proche du PPRD, en citant le président de la Commission européenne. Soulignant que« le message a été clair», cette publication qui se fait l'écho d'autres propos de José Manuel Barroso mentionne que «les acteurs politiques congolais doivent respecter le calendrier établi. Cette prolongation doit aboutir à l'organisation des élections libres et transparentes». Toutefois, fait remarquer L'Observateur, le président de la Commission européenne a «insisté sur le fait qu'il ne sera pas question d'une nouvelle prolongation de la transition».
Renchérissant qu'en «aucun cas la transition ne pourra dépasser la date du 30 juin 2006, sous peine que les institutions et les hommes qui sont aujourd'hui à la tête du pays perdent la légitimité qui découle du mandat qui leur a été confié», Le Potentiel, proche de L'UDPS, décrypte en se basant sur « l'avis des analystes», que c'est parce qu'il y a eu «exclusion de certaines figures de proue de la scène politique congolaise lors de la désignation des animateurs des institutions de la République'que la gestion de la transition est aujourd'hui contestée, parce que mal engrangée».
Sous le titre «rien à changer aux institutions de la RDC», L'Avenir prévient que «tous ceux qui vont à l'encontre de l'organisation des élections seront rejetés par la communauté internationale», dixit José Manuel Barroso. Ce quotidien proche du PPRD, qui note que selon le président de la Commission européenne la date du 30 juin 2005 est «une date pour commémorer le 45e anniversaire», de la République Démocratique du Congo, souligne par ailleurs que «M. Barroso pense que son message a été saisi par tout le monde et sera donc respecté».
Sur le même ton, Le Forum des As, assure que «Barroso promet des sanctions aux auteurs des troubles». Ce journal, qui rapporte les différentes entrevues entre le président de la Commission européenne et les quatre vice-présidents, indique qu' «on va protéger la population» à la date du 30 juin 2005, en citant Jean Pierre Bemba.
Sur le sujet, Le Phare qui informe que «l'UE soutient la prolongation», fait remarquer que pour «Manuel Barroso, il n' y a pas d'avenir sans dirigeants compétents». Ce journal proche de l'UDPS précise que «l'Union européenne reste vigilante quant au respect des droits de l'homme et plus particulièrement les rapports entre les services de l'ordre et la population».
Estimant pour sa part que «Barroso a soufflé le chaud et le froid», La Tempête des Tropiques, quotidien proche des idéaux de l'UDPS, rapporte que tout en reconnaissant que «les Congolais n'ont aucune injonction à recevoir de qui que ce soit», le président de la Commission européenne «menace quiconque oserait manifester le 30 juin 2005». D'autre part, ce journal souligne que «la population congolaise décidée à mettre fin à sa misère en mettant la transition, s'est retrouvée à travers certains paragraphes», du discours de M. Barroso. La Tempête des Tropiques note ainsi que le président de la Commission européenne «a dit à haute voix aux membres du gouvernement, aux parlementaires et aux autres forces vives qu'ils travaillent non pas pour l'intérêt de quelques individus, mais plutôt de tout le Congo et de sa population».
Sur un tout autre registre, La Tempête des Tropiques fait savoir que «la MONUC affronte des miliciens» en Ituri. Indiquant que «quelque 200 casques bleus appuyés par un hélicoptère de combat ont engagé une opération contre des miliciens», ce journal renseigne que ces casques bleus sont «en mission d'encerclement et de quadrillage», en empruntant des propos au porte-parole militaire de la MONUC, Thierry Provendier.
«La transition est une opportunité unique qui n'a pas droit à l'échec», reprend aussi à sa une L'Observateur, proche du PPRD, en citant le président de la Commission européenne. Soulignant que« le message a été clair», cette publication qui se fait l'écho d'autres propos de José Manuel Barroso mentionne que «les acteurs politiques congolais doivent respecter le calendrier établi. Cette prolongation doit aboutir à l'organisation des élections libres et transparentes». Toutefois, fait remarquer L'Observateur, le président de la Commission européenne a «insisté sur le fait qu'il ne sera pas question d'une nouvelle prolongation de la transition».
Renchérissant qu'en «aucun cas la transition ne pourra dépasser la date du 30 juin 2006, sous peine que les institutions et les hommes qui sont aujourd'hui à la tête du pays perdent la légitimité qui découle du mandat qui leur a été confié», Le Potentiel, proche de L'UDPS, décrypte en se basant sur « l'avis des analystes», que c'est parce qu'il y a eu «exclusion de certaines figures de proue de la scène politique congolaise lors de la désignation des animateurs des institutions de la République'que la gestion de la transition est aujourd'hui contestée, parce que mal engrangée».
Sous le titre «rien à changer aux institutions de la RDC», L'Avenir prévient que «tous ceux qui vont à l'encontre de l'organisation des élections seront rejetés par la communauté internationale», dixit José Manuel Barroso. Ce quotidien proche du PPRD, qui note que selon le président de la Commission européenne la date du 30 juin 2005 est «une date pour commémorer le 45e anniversaire», de la République Démocratique du Congo, souligne par ailleurs que «M. Barroso pense que son message a été saisi par tout le monde et sera donc respecté».
Sur le même ton, Le Forum des As, assure que «Barroso promet des sanctions aux auteurs des troubles». Ce journal, qui rapporte les différentes entrevues entre le président de la Commission européenne et les quatre vice-présidents, indique qu' «on va protéger la population» à la date du 30 juin 2005, en citant Jean Pierre Bemba.
Sur le sujet, Le Phare qui informe que «l'UE soutient la prolongation», fait remarquer que pour «Manuel Barroso, il n' y a pas d'avenir sans dirigeants compétents». Ce journal proche de l'UDPS précise que «l'Union européenne reste vigilante quant au respect des droits de l'homme et plus particulièrement les rapports entre les services de l'ordre et la population».
Estimant pour sa part que «Barroso a soufflé le chaud et le froid», La Tempête des Tropiques, quotidien proche des idéaux de l'UDPS, rapporte que tout en reconnaissant que «les Congolais n'ont aucune injonction à recevoir de qui que ce soit», le président de la Commission européenne «menace quiconque oserait manifester le 30 juin 2005». D'autre part, ce journal souligne que «la population congolaise décidée à mettre fin à sa misère en mettant la transition, s'est retrouvée à travers certains paragraphes», du discours de M. Barroso. La Tempête des Tropiques note ainsi que le président de la Commission européenne «a dit à haute voix aux membres du gouvernement, aux parlementaires et aux autres forces vives qu'ils travaillent non pas pour l'intérêt de quelques individus, mais plutôt de tout le Congo et de sa population».
Sur un tout autre registre, La Tempête des Tropiques fait savoir que «la MONUC affronte des miliciens» en Ituri. Indiquant que «quelque 200 casques bleus appuyés par un hélicoptère de combat ont engagé une opération contre des miliciens», ce journal renseigne que ces casques bleus sont «en mission d'encerclement et de quadrillage», en empruntant des propos au porte-parole militaire de la MONUC, Thierry Provendier.
